Depuis 1990, l’Assemblée Générale de l’ONU a consacré le deuxième mercredi d’octobre de chaque année Journée internationale pour la prévention des catastrophes naturelles.

L’objectif de cette journée est de sensibiliser le public sur les différentes thématiques liées aux risques naturels, tremblements de terre, ouragans, etc. pour mieux les connaître, les prévenir, les prendre en compte dans l’urbanisme et la construction et éduquer au comportements à adopter en cas de leur survenue.

Le nord de l'Algérie est une région sismique. Des villes ont été détruites par les tremblements de terre dans le passé faisant des dizaines de milliers de morts et de sans abris (El-Asnam, Boumerdès sont les plus récents).

Phillipe Meirieu, professeur en sciences de l'éducation à l'université Lumière-Lyon 2 a écrit le 6 septembre 2007, dans la revue "La Vie" , la chronique suivante sur les performances scolaires en France.

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La Journée mondiale contre la peine de mort a été organisée pour la première fois le 10 octobre 2003 par un regroupement d'associations, de juristes, de syndicats et d'ONG (Organisations Non Gouvernementales).

Environ 65 pays pratiquent encore la peine capitale, principalement des régimes autoritaires. La Chine, l’Arabie Saoudite et l’Iran sont les pays qui procèdent au plus grand nombre d’exécutions annuelles.

En Algérie, des juristes, des associations, des partis politiques appellent à l’abolition de la peine de mort. Les milieux  religieux restent les principaux opposants à son abolition.

"La mort ne peut en aucun cas être considérée comme un acte de justice", a déclaré le Président du Parlement Européen Jerzy Buzek lors de l'ouverture de la session le 6 octobre 2010.

 "Comme il l’a fait avec l’esclavage et l’apartheid, le monde est en train de rejeter cette pratique, qui est une honte pour l’humanité. Nous n’avons jamais été aussi proches d’un monde sans peine de mort, mais tant que ce jour ne sera pas arrivé, nous devrons nous opposer à chaque exécution" (Claudio Cordone, secrétaire général par intérim d’Amnesty International).

La Journée mondiale contre la peine de mort a été organisée pour la première fois le 10 octobre 2003 par la "Coalition mondiale contre la peine de mort" qui regroupe des associations de juristes, des syndicats, des ONG et de nombreuses associations attachées à la lutte contre la peine de mort.

Environ 65 pays pratiquent encore la peine de mort, principalement des régimes autoritaires. La Chine, l’Arabie Saoudite et l’Iran sont les pays qui procèdent au plus grand nombre d’exécutions annuelles.

En Algérie, des juristes, des associations, des partis politiques appellent à l’abolition de la peine de mort.

Les milieux  religieux restent les principaux opposants à son abolition.

"Comme il l’a fait avec l’esclavage et l’apartheid, le monde est en train de rejeter cette pratique, qui est une honte pour l’humanité. Nous n’avons jamais été aussi proches d’un monde sans peine de mort, mais tant que ce jour ne sera pas arrivé, nous devrons nous opposer à chaque exécution" (Claudio Cordone, secrétaire général par intérim d’Amnesty International).

"La mort ne peut en aucun cas être considérée comme un acte de justice", a déclaré le Président du Parlement Européen Jerzy Buzek lors de l'ouverture de la session le 6 octobre 2010.

Je commence par  cette citation d’Alex Clerino qui dit: "Faites écrire  vos élèves, ils vous en sauront gré.  Ils se passionneront  à noircir du papier et vous constaterez  combien ils ont des choses à dire et combien ils progressent dans l’art d’écrire".    On sait depuis belle lurette  qu’on  apprend une langue en la pratiquant, en la parlant et surtout en l’écrivant. Quand le texte   libre  est réduit à : « racontez vos dernières vacances »,  on a simplement oublié que le texte a besoin d'un destinataire.  Il faut en finir avec la rédaction ultra scolaire   surtout ennuyeuse  où on demandait aux élèves de raconter un voyage à l’étranger sans se préoccuper   de leur milieu familial, de leur expérience.  On se reportera aux souvenirs de M. DIB dans la Grande Maison qui disait : "A l’école, plus on ment mieux ça marche".  Oui, car  on lui demandait de raconter des repas en famille  le soir de noël   ou bien encore  de raconter une journée à la mer. Ce qui serait  intéressant  c’est de donner l’occasion à l élève de raconter son vécu  dans une lettre à un copain, un travail alors plus motivant, sinon le prof doit redoubler d’astuces,   trouver des inducteurs  qui vont faire  que ce travail de  rédaction  ne soit plus une corvée  mais un plaisir ...     

Mme AIT-ABDESSELLAM