• La journée mondiale du sida a été instaurée par l’ONU en 1988.

    Vu la gravité de cette maladie à laquelle il n’existe aucun remède pour l’instant et la vitesse à laquelle elle se développe, de nombreuses associations et personnes se mobilisent dans le monde pour la prévenir : seul la prévention peut nous en prémunir.

    Journées internationales

    Célébrée le 1er décembre de chaque année, la Journée mondiale contre le sida, sera l’occasion de sensibiliser les populations sur le danger que représente la pandémie du virus du VIH.  Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) est un rétrovirus infectant l'homme et responsable du syndrome d'immunodéficience acquise (sida).

    Selon l’ONUSIDA, deux millions de personnes à travers le monde sont mortes de maladies liées au sida en 2008. En 2009, on estimait qu’environ 33,4 millions de personnes à travers le monde vivaient avec le VIH.  En Afrique, continent le plus touché,  l’infection à VIH constitue la première cause de décès.

    En Algérie, au moins 600 nouveaux cas de HIV-sida ont été  recensés  de janvier à novembre de l’année 2010, a  indiqué  le Dr. Skander Abdelkader Soufi, président de l’association   de lutte contre les infections sexuellement transmissibles et de promotion de  la santé, Anis.  Ces nouveaux cas portent le nombre cumulé officiel depuis l’apparition   de l’épidémie en Algérie (1985) à 4.745 séropositifs et 1.118 personnes en phase  de sida maladie, a-t-il noté. Toutefois, il n’a pas manqué de souligner que ces chiffres restent « très loin  de la réalité ».


    1 commentaire
  • Bientôt nous célébrerons la Journée mondiale de l’enfance (20 novembre), mais aussi le 21e anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE).

    En effet, en 1959 l’ONU déclare le 20 novembre, Journée mondiale de l’enfance. 30 ans plus tard, le 20 novembre 1989,  l'Assemblée générale des Nations unies adopte la Convention internationale des droits de l’enfant qui affirme qu'un enfant n'est pas seulement un être fragile qu'il faut protéger mais que c'est une personne qui a le droit d'être éduqué, soigné, protégé…

    Cette Journée est l’occasion pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées chaque jour contre les enfants dans le monde (enfants maltraités, prostitués, privés d’éducation, de nourriture, de soins, etc.)

     


    votre commentaire
  • Performances et échec scolaires

     Qui sont ces enfants qui échouent? et qui sont ceux qui réussissent? Pourquoi des jeunes décrochent-ils si facilement ? Pourquoi les efforts consacrés aux études sont ils insuffisants? D'abord la notion d'échec n'est pas simple à cerner . L'échec est un sentiment qui résulte d'espérances trompées. Espérances des parents, eux qui souhaitant la réussite de leurs enfants voient leur avenir incertain . Enfin celles des enseignants qui font figure d'accusés ,eux qui auraient voulu que tous leurs élèves réussissent !! Il est vrai que nous sommes dans une societé rongée par la peur du chomage. Alors pourquoi ce lycéen se casserait-il la tête pour apprendre quand ses frères et soeurs diplomés ingénieurs ou licenciés ne trouvent pas d'emploi ? A tous ces jeunes qui se posent des questions je leur demande de lire ce très beau texte de Robert Sabatier et qui s'intitule : Pourquoi apprendre?

    "Pourquoi apprendre?" me dit un jour un adolescent sur un ton blasé. "Pourquoi apprendre puisque j'oublierai les deux tiers de ce que j'ai appris et que le reste ne me servira pas à grand-chose?"

    J'aurais pu lui parler du rôle des études dans la formation intellectuelle. Se référant à la raison pratique, qui ne lui aurait répondu en évoquant les diplômes, les possibilités d'établir sa situation dans la vie, de faire une carrière ?

    Et on aurait pu ajouter que les études, c'est comme l'eau pure; on l'apprécie quand on est dans le désert. Et combien, parmi les défavorisés de la société, m'ont dit: "Et pourtant, j'étais doué. Ah! Si on m'avait fait faire des études"...

    Mais pour répondre à cet adolescent moins blasé sans doute qu'il ne voulait bien le montrer, j' ai choisi d'autres arguments. En effet, cet aimable provocateur, ce charmant petit Socrate, pour sa délectation personnelle, voulait m'amener à entrer dans un jeu ou il serait gagnant puisqu'il prévoyait mes objections et savait par quelles insolentes pirouettes il pourrait y répondre. J'ai préféré puiser dans mon expérience enfantine d'une pédagogie sauvage et dont finalement je ne me plains pas puisqu'elle a ouvert a ma curiosité les portes du savoir et fait de moi un éternel étudiant. Et j'ai évoqué une idée toute simple qu'on oublie généralement: l'idée de plaisir.

    Celui qui a le bonheur d'accéder à ce bien précieux, la culture, doit en connaître les joies. Malheureusement, ce n'est pas le cas du plus grand nombre. J'ai visité beaucoup de comités culturels d'entreprises. Il y a là des gens de bonne volonté qui mettent toute leur énergie à éveiller des intérêts pour le livre, le disque ou le spectacle. Ils savent que l'homme ne vit pas seulement de pain. Ils savent que l'accession à la consommation est une chose et que l'accession au savoir en est une autre. Il existe malheureusement des soifs de connaissances qui restent insatisfaites. La fatigue des journées de travail, des transports, le manque de temps et de moyens en sont la cause, et aussi l'abandon à la quotidienneté envahissante. Cela m'a attristé bien souvent, mais quel réconfort que de voir briller dans un regard une certaine flamme: celle de l'être qui découvre autre chose que son horizon limité de chaque jour.

    A cela et à ceux-là, il faudrait bien penser.

    Non, la culture n'est pas un mot abstrait, une entité administrative. Elle est un besoin, une nécessité, une nourriture. Mais elle est aussi, par-dessus tout, un plaisir.

    Robert SABATIER, Journal du Dimanche,


    1 commentaire
  • Lancée par l’UNESCO en 2001, la Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement est célébrée chaque année dans le monde entier le 10 novembre.

    Nous vous invitons à lire le message de Mme Irina Bokova, Directrice générale de l'UNESCO, à l'occasion de cette journée :


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires